Ayant adopté un chaton il y 13 ans à la SPA de Vaux-le-Pénil, et l'adoption s'étant passé à merveille, je décide donc d'y retourner. J'avais pris un peu peur les jours précédents ma visite en lisant les avis, mais j'ai préféré me fier à ma propre expérience. Grosse erreur !
Nous avons été accueilli de façon très correcte. A la question de savoir si il y avait des chatons en ce moment, on nous répond que oui mais qu'ils sont très craintif. Arrivées à la chatière, le discours commence déjà a changer, visiblement ils n'auraient pas de chatons. Nous patientons quand même pour voir les chats, la personne qui s'occupe de la chatière sort, nous prend le formulaire et nous pose des questions sur le nombre de personne au foyer, le type de logement qu'on occupe etc... On nous a répondu que vivant dans un appartement, l'environnement ne serait pas adapté. Entre nous, je pense qu'un chat serait bien plus heureux dans un appartement quand dans la pièce unique d'un refuge. De plus, je n'ai jamais déménagé entre ma première adoption et aujourd'hui, alors pourquoi il y a 13 ans ça ne posait pas de problème mais maintenant oui ?
Nous leur avons bien préciser que nous avions déjà adopté chez eux des années auparavant, que le chat y avait coulé une vie heureuse et tranquille, mais sans grand résultat. Nous sommes donc reparti sans avoir même pu voir les chats.
Nous sommes sorti du refuge, avons cherché les autres refuges dans les environs, et l'un d'eux, après nous avoir répondu qu'ils n'avaient pas de chatons nous suggère donc d'aller voir à Vaux le Pénil. Je raconte alors ma mésaventure, la personne au bout du fil me répond "je ne sais pas ce qui se passe là -bas, mais toutes les personnes qui nous appelle et qui vienne de chez eux nous dise la même chose que vous."
Alors c'est à se demander si la cause animale les intéresse vraiment ou si l'argent des subventions est devenu plus important que tout le reste ?